Fiscalité investissement locatif : les lois rattachées

editor's photo
  • Article written by Mickaël ZONTA
  • President, Investissement-Locatif.com
Temps de lecture 5 minutes Publié le jeudi 22 mai 2025
Summary
Fiscalité d'investissement locatif meublé ou vide
Comparatif des dispositifs fiscaux : quel est le plus avantageux selon votre profil ?
Simulation d’impact fiscal selon le dispositif choisi
Les pièges à éviter en matière de fiscalité locative
Quels critères pour choisir le bon dispositif fiscal ?
Le bon dispositif, c’est celui qui colle à votre réalité
Investissement locatif et fiscalité : quels impacts sur votre stratégie patrimoniale ?

La fiscalité d'un investissement locatif est un large sujet. D'abord les dispositifs fiscaux spécifiques a plus courante est le dispositif Pinel, qui a remplacé la loi Duflot qui, à la suite de la loi sur l'investissement locatif Scellier s’applique sur des logements neufs ou en voie d’achèvement, respectant des performances thermiques et énergétiques et situés dans des communes classées défavorisées. Une réduction de 18% sur les impôts est consentie (29% pour des logements DOM TOM), étalée linéairement sur 9 ans avec un plafond de 300.000 euros et 2 logements par an.

Fiscalité d'investissement locatif meublé ou vide

Là aussi, des avantages sont proposés aussi bien pour le Loueur en Meublé Professionnel (LMP) que Non Professionnel (LMNP). Entre régime BIC et micro-BIC, vous pourrez déduire l’ensemble de vos frais (intérêts d’emprunt, travaux, amortissement de le valeur du logement) ou bénéficier d’un abattement de 50% sur vos recettes brutes.

Si vous optez pour un bien vide, c’est-à-dire non meublé, vos loyers seront à déclarer avec vos revenus fonciers. Selon le montant des loyers, vous serez en régime micro-foncier ou au régime réel. En deçà de 15.000 € annuels, le micro-foncier vous permet un abattement de 30%. Au delà, le régime réel vous offre de déduire diverses dépenses afférentes (travaux, intérêts d’emprunt, etc.).

fiscalite investissement locatif

Comparatif des dispositifs fiscaux : quel est le plus avantageux selon votre profil ?

Entre la loi Pinel, le statut LMNP, le dispositif Malraux ou encore la loi Girardin, il y a de quoi se sentir comme un étudiant devant un menu de restaurant gastronomique : tout a l’air intéressant, mais on ne sait pas forcément quoi choisir. Bonne nouvelle : on vous aide à y voir plus clair.

Chaque dispositif fiscal a sa cible, ses conditions… et ses petites subtilités qui peuvent faire toute la différence selon votre profil. Voici un comparatif pour choisir sans vous tromper.

Quel investisseur êtes-vous ?

Avant de plonger dans les chiffres, posez-vous une question simple : quel est votre objectif principal ?

  • Vous débutez dans l’investissement locatif ? → Visez un dispositif simple, avec un cadre clair.

  • Vous cherchez à réduire une forte imposition ? → Priorisez les réductions fiscales généreuses.

  • Vous préparez votre retraite ou cherchez des revenus réguliers ? → Tournez-vous vers le meublé.

  • Vous avez un fort patrimoine à valoriser sur le long terme ? → Pensez transmission et plus-value.

Tableau comparatif des principaux dispositifs fiscaux

Dispositif

Type of property

Durée engagement

Réduction fiscale max.

Conditions principales

Profil idéal

Pinel

Neuf

6, 9 ou 12 ans

Jusqu’à 21% du prix du bien

Zones tendues, plafond 300k€, loyers et ressources plafonnés

Investisseur débutant à intermédiaire

LMNP (régime réel)

Meublé

Libre (tant que loué)

Déduction charges + amortissement

Revenus < 23k€/an ou < 50% revenus totaux

Retraite, revenus complémentaires

LMP

Meublé

Libre

Exonération + amortissement

Revenus locatifs > 23k€/an ET > revenus du foyer

Investisseur professionnel

Malraux

Ancien à rénover

9 ans location

Jusqu’à 30% des travaux

Zones protégées, rénovation lourde

Passionné de patrimoine, hauts revenus

Monuments Historiques

Ancien classé

15 years old

100% des travaux déductibles

Pas de plafond, bien à conserver 15 ans

Fortement imposés, transmission

Girardin

Neuf DOM-TOM

5 ans

Jusqu’à 48% du prix du bien

Location sociale, très encadrée

Haut revenu, goût du risque

Censi-Bouvard

Résidences services

9 ans

11% + récupération TVA

Résidences étudiantes, EHPAD, tourisme

Investisseur passif, profil retraite

 

Avantages et inconvénients : le match des dispositifs

Pinel :

  • ✔ Facile à comprendre, bon outil de défiscalisation

  • ✘ Rentabilité parfois moyenne selon les zones

LMNP :

  • ✔ Rentabilité solide, régime souple, très populaire

  • ✘ Nécessite une gestion rigoureuse (compta, déclarations)

Malraux / Monuments Historiques :

  • ✔ Patrimoine valorisé, défiscalisation massive

  • ✘ Complexité administrative, capital important à mobiliser

Girardin :

  • ✔ Très forte réduction d’impôts à court terme

  • ✘ Risque élevé si montage mal encadré (à réserver aux avertis)

Censi-Bouvard :

  • ✔ Peu de gestion, fiscalité allégée

  • ✘ Dépendance à l’exploitant de la résidence, revente parfois difficile

Simulation d’impact fiscal selon le dispositif choisi

"Oui mais concrètement, je vais économiser combien ?"
C’est LA question que se posent 100 % des investisseurs au moment de choisir un dispositif. Et ils ont bien raison.

Plutôt que de vous noyer dans des formules fiscales aussi digestes qu’un rapport de l’URSSAF, voici quelques cas pratiques pour illustrer l’impact réel des dispositifs les plus courants. Préparez votre calculette (ou pas, on l’a fait pour vous).

Cas n°1 : Sophie, cadre à Lyon, investit en Pinel

  • Situation : Achat d’un appartement neuf à 250 000 € dans une zone Pinel

  • Durée d’engagement : 9 ans

  • Tranche marginale d’imposition (TMI) : 30 %

Avant dispositif :

  • Sophie paie 8 500 € d’impôts par an.

Avec Pinel :

  • Réduction d’impôt : 18 % de 250 000 € = 45 000 € répartis sur 9 ans
    → Soit 5 000 €/an d’économie

Résultat :

  • Impôt annuel après réduction : 3 500 €

  • Économie sur 9 ans : 45 000 €
    => De quoi s’offrir un petit tour du monde… ou refaire sa salle de bains.

Cas n°2 : Marc, ingénieur en télétravail, passe au LMNP réel

  • Situation : Studio meublé à Toulouse loué 700 €/mois
    → 8 400 € de recettes annuelles

  • Charges (intérêts d’emprunt, amortissements, frais) : 7 000 €

Avant dispositif :

  • Tout est imposé comme revenu foncier. Marc paie des impôts sur 8 400 €

Avec LMNP au réel :

  • Revenu imposable : 8 400 € – 7 000 € = 1 400 €
    → Imposition marginale (TMI 30 %) + prélèvements sociaux : env. 620 €

Résultat :

  • Avant : environ 2 600 € d’impôts

  • Après : 620 € seulement
    => 2 000 € d’économie annuelle, et un bon exemple de régime qui amortit... littéralement.

Cas n°3 : Claire et Paul, amateurs de vieilles pierres, optent pour la loi Malraux

  • Situation : Immeuble ancien en secteur sauvegardé à rénover pour 200 000 €

  • Travaux : 120 000 €

  • Tranche marginale d’imposition : 41 %

Avec Malraux :

  • Réduction d’impôt : 30 % de 120 000 € = 36 000 €
    → Étalée sur 4 ans : 9 000 €/an

Résultat :

  • Impôt divisé par deux pendant 4 ans
    => Bonus : un bien de prestige en plein centre-ville, et une belle opération patrimoniale.

Cas n°4 : Julie, haut cadre à Paris, s’aventure en loi Girardin

  • Situation : Investissement de 20 000 € dans un logement social à La Réunion

  • Montage encadré par une société agréée

Avec Girardin :

  • Réduction immédiate : 48 % soit 9 600 €
    → Sur l’année suivante, en une fois

Attention :

  • Risque de requalification si montage non conforme

  • Aucun revenu généré, investissement à fonds perdu… mais défiscalisation rapide

Résultat :

  • Julie baisse son impôt de près de 10 000 € en une seule fois
    => À manier comme un piment antillais : avec précaution, mais ça a du goût.

Les pièges à éviter en matière de fiscalité locative

Quand on parle de fiscalité, l’enfer ne se cache pas dans les détails… il s'y installe en pantoufles. Entre les dates à respecter, les formulaires obscurs et les subtilités administratives, l’investissement locatif peut vite ressembler à un champ de mines pour l’investisseur distrait.

Voici les erreurs les plus fréquentes à éviter si vous ne voulez pas voir votre réduction d’impôt s’envoler… ou recevoir un courrier de l’administration qui commence par “Nous avons constaté que...”.

Déclarations fiscales mal remplies ou incomplètes

C’est l’erreur n°1 : on coche une mauvaise case, on oublie un formulaire annexe, on déclare ses loyers en foncier au lieu de BIC, et paf ! L’administration fiscale ne vous le fera pas savoir gentiment. Et l’argument du “je ne savais pas” ne fonctionne malheureusement pas très bien au guichet des impôts.

À faire :

  • Se renseigner précisément sur les formulaires liés à chaque dispositif (n°2044, n°2042-C-PRO, etc.)

  • Vérifier les dates de déclaration et les obligations de justificatifs (amortissements, charges, baux…)

Croire qu’on peut cumuler tous les dispositifs… comme au supermarché

Un investissement Pinel et un statut LMNP sur le même bien ? Mauvaise idée. Certaines optimisations fiscales ne sont pas cumulables entre elles, ou peuvent se neutraliser. On ne fait pas un smoothie avec de la bière, du lait et de l’huile d’olive. C’est pareil ici : chaque dispositif a son écosystème.

À faire :

  • Bien vérifier les règles de non-cumul et de plafonnement global des niches fiscales (10 000 € par an, sauf exceptions)

  • S’assurer que le régime fiscal choisi est cohérent avec l’usage du bien (location nue ≠ meublée)

Ne pas respecter les délais… et perdre tous les avantages

C’est l’erreur la plus cruelle : on coche toutes les bonnes cases, on investit, on loue… mais on dépasse d’un mois la date limite pour mettre le bien en location. Résultat ? L’avantage fiscal saute, et vous avez tout fait… pour rien. Le fisc n’est pas joueur : un délai est un délai.

À faire :

  • Respecter les échéances : mise en location sous 12 mois, durée d’engagement ferme, délais de travaux…

  • Conserver tous les justificatifs : factures, contrats, attestations, plans…
    (Le seul “oral” accepté par le fisc, c’est le micro des guichets.)

Quels critères pour choisir le bon dispositif fiscal ?

Vous avez l’impression que la fiscalité immobilière est un grand buffet dans lequel on ne sait jamais quoi prendre ? C’est normal. Chaque dispositif a ses promesses, ses conditions, et ses petites lignes bien cachées. Pour faire un bon choix, oubliez la recette miracle : il faut partir de vous, pas des réductions d’impôts.

Voici les 4 grands critères pour orienter votre décision comme un investisseur éclairé (et pas comme un joueur de loto fiscal).

Quel est votre objectif principal ?

Avant de foncer sur la loi la plus “vendeuse”, posez-vous la vraie question : pourquoi investissez-vous ?

  • Vous voulez payer moins d’impôts, vite et fort ? → Regardez du côté du Girardin, du Malraux, ou du Pinel.

  • Vous préparez votre retraite avec des revenus réguliers ? → Le LMNP ou le LMP sont vos meilleurs amis.

  • Vous constituez un patrimoine sur le long terme ? → Pensez ancien + travaux (Malraux, MH) ou bien meublé amortissable.

  • Vous souhaitez transmettre un bien à vos enfants plus tard ? → Certains dispositifs permettent de lisser la fiscalité sur le long terme (MH, LMNP avec détention longue).

À retenir : il n’y a pas de bon dispositif sans bonne intention derrière.

Quelle durée d’engagement êtes-vous prêt à assumer ?

Les dispositifs fiscaux aiment les gens fidèles. Plus vous vous engagez longtemps, plus l’État vous récompense… à condition de ne pas rompre le contrat en cours de route.

  • Pinel : 6, 9 ou 12 ans (avec des réductions progressives)

  • Censi-Bouvard : 9 ans minimum

  • Malraux : engagement de location 9 ans à compter de la fin des travaux

  • LMNP : pas de durée obligatoire, mais fiscalement intéressant sur 10-15 ans

  • MH : 15 ans de détention minimum si on veut profiter à 100 % des avantages

Traduction : si vous pensez revendre dans 3 ans pour “voir autre chose”, certains dispositifs risquent de vous pénaliser.

Quel type de bien visez-vous ?

Parce que oui, tous les biens ne sont pas compatibles avec tous les régimes. On ne met pas un costume trois pièces pour aller à la plage.

  • Neuf : obligatoire pour Pinel, Censi-Bouvard, Girardin

  • Ancien à rénover lourdement : terrain de jeu du Malraux et des Monuments Historiques

  • Meublé : indispensable pour LMNP/LMP, en location de courte ou longue durée

  • Nue : pour les dispositifs fonciers classiques (Pinel, Malraux, MH après travaux)

Astuce UX : choisissez le dispositif en fonction du bien que vous pouvez acheter, pas l’inverse.

Dans quelle zone géographique investissez-vous ?

Tous les dispositifs fiscaux ne s’appliquent pas partout. Les lois aiment les zones dites "tendues", l’administration aime les classements, et l’investisseur… n’a parfois pas le choix.

  • Pinel : zone A, A bis, B1 (rien en zone C)

  • Malraux : uniquement dans les secteurs sauvegardés ou zones patrimoniales

  • Girardin : DOM-TOM uniquement

  • LMNP : partout en France, mais attention à la tension locative

En clair : si vous rêvez d’un appartement à la campagne pour votre LMNP, assurez-vous d’abord qu’il se louera… sinon vous amortirez surtout vos regrets.

Le bon dispositif, c’est celui qui colle à votre réalité

Pas celui qu’un conseiller vous vend au téléphone un mardi à 18h. La clé, c’est de croiser vos objectifs personnels, vos contraintes, et la nature du bien que vous pouvez acquérir.

Besoin d’aide pour affiner votre profil investisseur ? On peut imaginer un arbre de décision ou une grille de choix ultra lisible pour accompagner cette section. Tu veux que je la prépare ?

Investissement locatif et fiscalité : quels impacts sur votre stratégie patrimoniale ?

On parle souvent de fiscalité comme d’un outil pour “payer moins d’impôts”. C’est vrai. Mais si vous ne regardez que ce bout de la lorgnette, vous risquez de passer à côté de l’essentiel : votre patrimoine global.

Un bon investissement locatif, ce n’est pas juste une opération fiscale réussie. C’est une brique dans une stratégie de long terme : revenus passifs, transmission familiale, protection contre l’inflation… et pourquoi pas indépendance financière. La fiscalité, ici, est un levier. Pas une fin en soi.

Transmission du patrimoine : anticipez, sinon l’État le fera à votre place

Un bien immobilier mal préparé à la transmission, c’est comme une valise sans roulettes : vous finirez par la traîner, lourdement. La fiscalité successorale en France n’est pas une légende, et si vous n’anticipez rien, vos héritiers risquent de payer plus que vous n’avez économisé en défiscalisation.

À envisager :

  • Démembrement de propriété (nue-propriété/usufruit) : utile pour transmettre sans déclencher de fiscalité immédiate

  • Utilisation d’une SCI familiale (soumise à l’IS ou IR selon stratégie)

  • Investissements long terme comme le statut LMNP, qui permet une gestion souple et une transmission progressive

Plus-values immobilières : attention à l’atterrissage

Acheter pour revendre rapidement ? Mauvais plan fiscal. À moins de spéculer avec un trèfle à quatre feuilles dans la poche, la plus-value immobilière est fortement taxée si vous revendez trop tôt.

Règles en vigueur :

  • Exonération totale après 22 ans de détention (pour l’impôt) et 30 ans (pour les prélèvements sociaux)

  • LMNP : possibilité d’amortir le bien, mais plus-value calculée sur le prix d’achat initial (pas d’amortissement déductible ici)

Si vous anticipez une revente, mieux vaut modéliser le scénario fiscal avant… que le notaire vous le rappelle au dernier moment.

IFI (Impôt sur la Fortune Immobilière) : le passager clandestin

Si votre patrimoine immobilier net dépasse 1,3 million d’euros, félicitations. Et bienvenue dans le monde de l’IFI. Là encore, vos choix fiscaux peuvent peser lourd.

Ce qu’il faut savoir :

  • Le LMNP n’échappe pas à l’IFI, contrairement à certaines SCPI de démembrement

  • Un bien détenu en nue-propriété n’est pas taxable à l’IFI (tant que vous n’en avez pas l’usufruit)

  • Le crédit restant dû est déductible, mais attention aux montages artificiels

Conseil : quand on s’approche du seuil, mieux vaut arbitrer intelligemment que découvrir l’IFI par surprise un 15 juin.

Et les alternatives ? SCPI, nue-propriété, assurance vie immobilière…

L’immobilier locatif classique n’est pas le seul outil dans la boîte à outils patrimoniale. Selon votre âge, vos objectifs et votre fiscalité, d’autres dispositifs peuvent s’avérer plus souples ou mieux adaptés :

  • SCPI fiscales (Pinel, Malraux, déficit foncier…) : mutualisation, gestion déléguée, ticket d’entrée réduit

  • SCPI de rendement : bons revenus, mais imposables (sauf si logées en assurance vie)

  • Nue-propriété temporaire : pas d’IFI, pas d’impôt sur les revenus, décote à l’achat… mais aucun loyer avant plusieurs années

  • Assurance vie avec unités immobilières : fiscalité douce en sortie, idéal pour placements sur 8 ans+

These articles may also be of interest to you

  • fiscalite-marchand-de-biens

    Maîtriser la fiscalité du marchand de biens repose sur trois piliers : identifier son statut juridique, optimiser la TVA sur marge et respecter les obligations déclaratives. Une structuration adaptée et une gestion proactive permettent de réduire la pression fiscale.

    Read the article
  • formation-fiscalite-immobiliere

    Maîtriser la fiscalité immobilière transforme chaque décision en levier de rentabilité. Une formation adaptée, combinant régimes fiscaux et stratégies d'optimisation, permet de convertir les difficultés en opportunités. Chez Investissement-locatif.com, notre accompagnement personnalisé garantit un investissement patrimonial éclairé, où chaque euro économisé renforce votre liberté financière durable.

    Read the article
  • tva-sci

    La soumission d’une SCI à la TVA permet aux investisseurs de récupérer la TVA sur des dépenses comme les travaux de rénovation, un avantage financier considérable. Toutefois, elle impose des obligations administratives et fiscales supplémentaires, comme la gestion rigoureuse des déclarations de TVA et l’augmentation des loyers commerciaux avec TVA.

    Read the article