Cession de parts de SCI : le notaire est-il obligatoire ?

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  • Article written by Mickaël ZONTA
  • Co-fondateur, Investissement-Locatif.com
Publié le jeudi 27 novembre 2025
Summary
Le principe : une cession de parts sociales par acte sous seing privé
L'intervention du notaire : quand devient-elle indispensable ?
La procédure de cession de parts de SCI : les étapes clés après l'acte
La cession de parts de SCI : un processus complexe mais essentiel
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Vous êtes sur le point de céder vos parts dans une Société Civile Immobilière (SCI) ou d'en acquérir ? La question de l'intervention d'un notaire est souvent la première qui se pose, générant son lot d'incertitudes. Au cœur des transactions immobilières complexes et des enjeux patrimoniaux qu'implique une SCI, le rôle du notaire n'est pas toujours systématique. Toutefois, il est important de comprendre les nuances de la loi et les impératifs pratiques.

Contrairement à la vente d'un bien immobilier classique en pleine propriété, l'opération de cession de parts sociales obéit à des règles spécifiques du droit des sociétés, ce qui peut rendre le recours à un acte authentique facultatif dans de nombreux cas. Pourtant, simplifier à l'extrême cette démarche serait une erreur, car les conséquences juridiques et fiscales d'une cession mal formalisée peuvent être lourdes.

Le principe : une cession de parts sociales par acte sous seing privé

Dans la majorité des cas, la cession de parts de SCI est un acte qui relève du droit commun des sociétés. Vous n'êtes donc pas contraint de passer devant un notaire pour que la transaction soit juridiquement valable. C'est l'acte sous seing privé qui prévaut, offrant une certaine souplesse et une réduction des coûts initiaux.

Définition et validité de l'acte sous seing privé

L'acte sous seing privé est un document rédigé et signé directement par les parties concernées, le cédant (vendeur) et le cessionnaire (acheteur), sans l'intervention d'un officier public comme le notaire. En matière de cession de parts sociales, cet acte a pleine validité juridique dès lors qu'il est contresigné par les parties. Il matérialise l'accord sur la chose (les parts cédées) et le prix.

Pour qu'un tel acte soit parfaitement valable et opposable aux tiers, deux conditions majeures doivent être remplies, au-delà du consentement éclairé des parties :

  • Le respect des clauses statutaires de la SCI : les statuts prévoient généralement une procédure d'agrément des associés (voir plus loin), qui doit être strictement suivie avant la signature.
  • Les formalités d'enregistrement : l'acte de cession doit impérativement être enregistré auprès du service des impôts (Service de la Publicité Foncière et de l'Enregistrement) pour déclencher l'exigibilité des droits de mutation et rendre l'opération certaine vis-à-vis de l'administration fiscale.

 

C'est cette souplesse initiale qui fait que, sauf exception légale, la cession de parts de SCI n'est pas intrinsèquement soumise à la forme authentique.

Les mentions obligatoires à intégrer dans l'acte de cession

Bien que l'acte soit réalisé par les parties elles-mêmes, sa rédaction doit être d'une rigueur absolue. L'omission ou l'imprécision d'une mention essentielle pourrait compromettre la validité de l'opération ou générer des litiges futurs.

Voici les informations cruciales que votre acte de cession de parts de SCI doit contenir :

  • L'identité complète des parties : Nom, prénoms, adresse, date et lieu de naissance, et situation matrimoniale du cédant et du cessionnaire (ou dénomination sociale, siège social si personnes morales).
  • L'identification de la SCI : Dénomination, forme juridique (SCI), montant du capital social, siège social et numéro SIREN.
  • Le nombre exact de parts cédées : Le nombre de parts concernées et leur numérotation si elle existe.
  • Le prix de la cession : Le montant convenu exprimé en chiffres et en lettres, ainsi que les modalités de paiement (comptant, à terme, etc.).
  • La date de jouissance : La date à partir de laquelle le cessionnaire est considéré comme propriétaire des parts.
  • La déclaration du cédant : Attestant qu'il est bien le propriétaire exclusif des parts, qu'elles sont libres de tout gage, privilège ou nantissement.
  • La référence à l'agrément : Une mention attestant que la procédure d'agrément prévue par les statuts (si nécessaire) a bien été respectée.
  • La répartition de la charge fiscale et des frais : Qui prend en charge les droits d'enregistrement et les éventuels frais de rédaction ou de conseil.

 

L'absence de l'une de ces mentions, notamment celles concernant le prix et la désignation des parts, peut entraîner la nullité de la convention. C'est pourquoi, même en l'absence de notaire, il est vivement conseillé de faire appel à un avocat spécialisé ou un juriste pour la rédaction, ou à minima d'utiliser un modèle éprouvé et complet.

Loupe agrandissant le montant sur des billets de 50 euros, posée près d’une calculatrice évoquant des calculs précis liés à la cession de parts de SCI

L'intervention du notaire : quand devient-elle indispensable ?

Si le principe de l'acte sous seing privé prévaut, la loi prévoit des exceptions très précises où l'acte notarié devient une exigence légale. Ces cas sont généralement liés à la nature du transfert ou à la qualité des biens inclus dans le patrimoine de la SCI. Ignorer ces obligations peut rendre l'acte inopposable ou nul.

Les cas où l'acte authentique est requis (donation, cession entre époux, apport d'immeuble)

L'intervention d'un notaire devient impérative dans certaines situations particulières, principalement lorsque l'opération dépasse le simple cadre de la vente classique ou touche à des règles de protection particulières :

La donation de parts sociales

Lorsqu'il s'agit d'une transmission à titre gratuit (donation simple ou donation-partage), la loi exige un acte authentique. Le notaire est indispensable pour formaliser l'intention libérale du donateur et garantir le respect des règles successorales, notamment en matière de rapport à succession ou de réserve héréditaire.

La cession de parts impliquant un bien immobilier détenu par la SCI

Bien que la cession porte sur les parts et non directement sur l'immeuble, le notaire est requis si l'opération a pour effet de faire entrer ou sortir un bien immobilier dans le patrimoine de la SCI. C'est le cas lors de l'apport d'un immeuble à la SCI ou du partage des biens immobiliers suite à la dissolution de la société. Le notaire garantit l'opposabilité de ces transferts immobiliers au Service de la Publicité Foncière.

La cession entre époux

Selon certaines interprétations liées au régime matrimonial et à l'origine des fonds, bien que moins fréquente pour les SCI que pour la vente d'un bien en commun, le recours au notaire peut être conseillé voire requis pour sécuriser la qualification des biens et éviter toute contestation future sur l'origine propre ou commune des parts.

Dans ces cas, l'acte authentique est la seule forme valable pour l'opération. L'acte sous seing privé serait considéré comme nul. Le notaire est alors le garant de la légalité et de l'efficacité du transfert.

Intérêt de faire appel à un notaire même si ce n'est pas obligatoire

Même si la loi ne vous y oblige pas, le recours à un notaire pour une cession de parts sociales par acte sous seing privé peut se révéler être une démarche très pertinente, voire stratégique, notamment en présence d'enjeux financiers importants ou de relations complexes entre associés.

Sécurisation juridique de la transaction

Avant tout, le notaire joue un rôle clé pour garantir la solidité juridique de l’opération :

  • Contrôle de la légalité : Le notaire, en tant qu'officier public, s'assure que toutes les conditions de fond et de forme sont respectées (capacité des parties, régularité de l'agrément, conformité aux statuts). Il vérifie l'absence de clauses abusives ou illégales.
  • Opposabilité aux tiers : Bien que l'enregistrement fiscal suffise pour l'opposabilité à l'administration, l'acte authentique offre une date certaine et une force probante supérieure en cas de litige avec un tiers.
  • Conservation des actes : Le notaire assure la conservation de l'acte pendant 75 ans dans son office, garantissant une preuve irréfutable de la transaction en cas de perte de l'acte original par les parties.

 

Gestion des conséquences fiscales et patrimoniales

Au-delà de l’aspect juridique, le notaire apporte une expertise précieuse sur les implications fiscales et patrimoniales :

  • Conseil fiscal : Il vous éclaire sur les droits d'enregistrement applicables (généralement 5% après un abattement), l'éventuelle plus-value de cession et les meilleures stratégies pour l'optimiser (par exemple, utilisation d'un compte courant d'associé).
  • Évaluation des parts : S'il n'est pas expert-comptable, le notaire dispose de méthodes d'évaluation et peut vous conseiller sur une estimation juste et motivée du prix de cession, un point souvent sujet à discorde. Il est primordial que le prix soit réel et sérieux pour éviter une requalification par le Fisc.

 

Formalisation des fonds

Le notaire peut gérer les fonds de la transaction via un compte séquestre, assurant que le paiement est bien reçu avant le transfert effectif des parts et que toutes les charges (impôts, frais) sont réglées. C'est un gage de sécurité pour le cédant et le cessionnaire.

Criteria Acte Sous Seing Privé (ASP) Acte Notarié (Authentique)
Obligation Légale Non, dans la plupart des cessions onéreuses Oui, pour la donation, l'apport d'immeuble, etc.
Coût Initial Moins élevé (honoraires avocat/juriste ou aucun) Plus élevé (émoluments notariés)
Force Probante Preuve simple, peut être contestée plus facilement Force exécutoire (jugement sans procès), très difficilement contestable
Sécurité/Conseil Dépend de la qualité de la rédaction par les parties Maximum (devoir de conseil du notaire)
Conservation À la charge des parties Garantie par l'office notarial (75 ans)

 

Ainsi, choisir l'acte authentique est souvent une décision d'investissement dans la sécurité juridique et la tranquillité d'esprit à long terme. C'est particulièrement vrai quand la SCI possède un patrimoine immobilier important ou que les relations entre les associés ne sont pas parfaitement harmonieuses.

La procédure de cession de parts de SCI : les étapes clés après l'acte

Que vous ayez opté pour l'acte sous seing privé ou l'acte notarié, l'opération de cession ne s'achève pas à la signature. Pour être pleinement effective et opposable à tous, elle doit être suivie d'une série de formalités administratives et juridiques qui garantissent sa publicité.

L'étape essentielle de l'agrément des associés (procédure et conséquences)

Avant même de signer l'acte de cession, l'étape la plus délicate et souvent oubliée par les non-initiés est celle de l'agrément des associés. Cette procédure est fondamentale en SCI, car elle vise à préserver l'intuitu personae, c'est-à-dire le caractère personnel de la société basée sur la confiance entre les associés.

La procédure d'agrément statutaire

Concrètement, l’agrément suit un cheminement précis que les statuts encadrent :

  • Le cédant doit notifier à la SCI (généralement au gérant) son projet de cession, en indiquant l'identité du cessionnaire et le nombre de parts.
  • Le gérant doit ensuite consulter les associés, généralement via une assemblée générale extraordinaire (AGE) ou une consultation écrite.
  • Les statuts de la SCI définissent la majorité requise pour accorder l'agrément. Dans la majorité des cas, notamment pour les cessions à des tiers non associés, l'agrément doit être donné à l'unanimité des autres associés, ou à une très forte majorité. Si la cession est réalisée au profit du conjoint, d'un ascendant ou d'un descendant, l'agrément est souvent facilité ou dispensé, mais il faut toujours vérifier les statuts.

 

Les conséquences de l'agrément

Une fois la procédure menée, deux issues sont possibles :

  • En cas d'agrément : La cession peut être réalisée conformément au projet notifié. L'accord des associés doit être formalisé par un procès-verbal d'assemblée qui sera annexé à l'acte de cession.
  • En cas de refus d'agrément : C'est là que les choses se compliquent. Le cédant ne peut pas céder ses parts au candidat refusé. Cependant, la loi protège le cédant : la SCI ou les associés agréants disposent d'un délai (souvent 6 mois) pour racheter ou faire racheter les parts à un prix fixé d'un commun accord ou par expertise judiciaire. Si ce rachat n'est pas effectué dans le délai légal, le cédant redevient libre de céder ses parts au candidat initialement refusé.

 

Le respect de cette procédure est impératif. Une cession réalisée sans agrément préalable, alors que les statuts l'exigent, est inopposable à la SCI et aux autres associés. Le cessionnaire n'aura donc aucune qualité d'associé légitime.

Billets de 500, 200 et 100 euros étalés en éventail, illustrant les montants mobilisables pour la cession de parts de SCI

Les formalités d'enregistrement et de publicité de la cession (Greffe du Tribunal de commerce, impôts)

Une fois l'acte de cession signé et l'agrément obtenu, il est essentiel de donner une publicité légale à la transaction pour la rendre définitive et opposable à l'administration, aux tiers et à la SCI elle-même.

L'Enregistrement auprès du Service des Impôts

L'acte de cession (qu'il soit sous seing privé ou notarié) doit être enregistré dans le mois qui suit sa signature auprès du service de l'enregistrement compétent (souvent le Service de la Publicité Foncière et de l'Enregistrement du domicile d'une des parties).

Cette formalité donne une date certaine à l'acte et permet le paiement des droits de mutation dus à l'État (actuellement 5 % sur le prix de cession ou la valeur vénale des parts, après un abattement). C'est le cessionnaire qui supporte, en principe, ces droits, sauf convention contraire.

La Publicité auprès du Greffe du Tribunal de Commerce

Pour que la cession soit opposable à la SCI et, par extension, aux tiers, elle doit être signifiée à la société, généralement par l'une des méthodes suivantes : dépôt de l'acte au siège social contre remise d'une attestation du gérant, signification par huissier (la méthode la plus sûre), ou, si l'acte est notarié, par la remise d'une copie authentique.

Bien que l'inscription au RCS des associés n'ait pas toujours été une obligation stricte, il est fortement recommandé de procéder au dépôt de l'acte de cession (et du procès-verbal d'agrément) au dossier de la SCI au Greffe du Tribunal de Commerce. Cela permet de mettre à jour la liste des associés qui est annexée aux statuts et d'assurer une traçabilité pour les tiers (banques, créanciers, etc.).

Ces démarches administratives et de publicité, souvent techniques, sont la raison pour laquelle de nombreux cédants et cessionnaires préfèrent déléguer l'ensemble du processus à un professionnel (notaire, avocat, ou expert-comptable).

La mise à jour des statuts de la SCI : quand est-elle nécessaire ?

La cession de parts sociales entraîne un changement dans la composition de l'actionnariat de la SCI. La question de la modification des statuts se pose alors légitimement.

Le principe de l'annexe aux statuts

En théorie, les statuts d'une SCI ne contiennent pas la liste exhaustive et mise à jour des associés et de la répartition de leurs parts, mais ils y renvoient généralement (par exemple, "la liste des associés est tenue à jour au siège social"). L'acte de cession dûment enregistré est donc la preuve du changement. La liste des associés et l'état de répartition des parts sociales sont mis à jour en interne au siège social de la SCI, souvent sous forme d'une annexe aux statuts.

Quand une modification statutaire est-elle nécessaire ?

Si, et seulement si, vos statuts prévoient expressément la liste nominative des associés et de leurs parts dans le corps même des statuts (article spécifique), alors une Assemblée Générale Extraordinaire (AGE) est nécessaire pour adopter une résolution modifiant cet article statutaire.

Si la cession s'accompagne d'un autre changement nécessitant une modification statutaire (exemple : changement de gérant, transfert de siège social, augmentation ou réduction de capital), l'acte de cession sera intégré au procès-verbal de l'AGE qui modifie les statuts.

Dans le cas où une modification statutaire est requise (point précédent), un dossier de modification complet doit être déposé au Greffe du Tribunal de Commerce après enregistrement de l'acte de cession. Ce dossier comprend :

  • Le formulaire M3 (ou équivalent) dûment rempli.

  • Le procès-verbal de l'AGE décidant de la modification des statuts.

  • Les statuts mis à jour, certifiés conformes par le gérant.

  • L'attestation de parution dans un Journal d'Annonces Légales (JAL).

 

La cession de parts de SCI : un processus complexe mais essentiel

La cession de parts de SCI est une démarche délicate qui ne nécessite pas systématiquement l'intervention d'un notaire, sauf dans certains cas précis. Toutefois, pour garantir la sécurité juridique de l'opération et éviter des litiges futurs, il est fortement recommandé de suivre avec rigueur les étapes légales, telles que l'agrément des associés et l'enregistrement de l'acte. Le recours à un notaire, bien que facultatif dans de nombreuses situations, peut offrir une tranquillité d'esprit supplémentaire, notamment en présence de patrimoines complexes ou de relations d'affaires sensibles.

Vous envisagez de céder des parts de SCI et souhaitez sécuriser votre transaction ? N'hésitez pas à consulter un professionnel pour vous accompagner et éviter toute erreur coûteuse. Prenez dès maintenant rendez-vous avec un expert pour vous assurer que votre opération soit parfaitement conforme et protégée.

FAQ : Pourquoi les statuts de la SCI sont-ils importants lors de la cession de parts sociales ?

Les statuts d'une SCI définissent les règles de fonctionnement de la société, y compris la procédure de cession des parts sociales. Ils précisent notamment si l'agrément des associés est nécessaire avant toute vente ou donation, et peuvent inclure des clauses spécifiques sur le régime de cession des parts, notamment en cas de transmission au conjoint ou d'apport immobilier.

Est-il possible de céder des parts de SCI à un cessionnaire sans passer par un notaire ?

Oui, dans la plupart des cas, la cession de parts sociales dans une SCI peut se faire par acte sous seing privé, sans notaire. Cependant, en fonction du montant de la transaction ou si la cession implique des biens immobiliers, un acte notarié peut être requis, notamment pour garantir la validité de la vente ou donation.

Quels sont les droits et obligations du cédant lors de la cession de parts de SCI ?

Le cédant doit respecter les formalités prévues dans les statuts de la SCI, y compris l'agrément des associés. Il est également responsable de l'exactitude du montant de la transaction et des droits d'enregistrement. En cas de cession impliquant un bien immobilier, l'acte notarié peut être requis pour officialiser la vente ou donation.

Comment la date de la cession de parts sociales influence-t-elle la fiscalité ?

La date de la cession a un impact direct sur les droits de mutation et les implications fiscales. Les droits d'enregistrement, généralement à hauteur de 5% du montant de la cession, doivent être payés dans le mois suivant la signature de l'acte. Une cession réalisée trop tardivement peut entraîner des pénalités fiscales.

Quels sont les avantages de faire appel à un notaire pour la cession de parts de SCI ?

Un notaire assure la conformité de l'acte avec la législation et les statuts de la SCI. Il garantit la validité juridique de la transaction, notamment en cas de donation ou de vente impliquant un bien immobilier. Son intervention est particulièrement utile pour éviter les litiges futurs et sécuriser la propriété des parts sociales.

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